Ispahan aux musiques du matin
Réveille l'odeur des roses de ses jardins...
Guillaume Apollinaire
Août – Septembre 2009
En souvenir de Florence et Minou, mes deux amies trop tôt disparues, il y a deux ans ces jours-ci, ces quelques roses de Perse et cette élégie de Franz Liszt.
De religions différentes, toutes deux avaient la même aura de douceur, le même accueil à l’autre, attentif et chaleureux, la même attirance pour tout ce qui est beau , élève l’âme et l’esprit ... l’art, la musique, la lecture, les fleurs…
Elles sont de ces êtres précieux que l’on n’oublie pas, qui laissent une trace lumineuse dans la vie de ceux qu’ils rencontrent…
Leur amitié m'a été une bénédiction,
une grâce dont je remercie le Seigneur.
Une pensée, une prière en leur mémoire…
Qu’elles demeurent dans la paix du Seigneur !