Voici un joli texte glané au hasard de mes lectures.
Il peut être source de méditation en ce temps de Carême.
Un grand merci à cet inconnu qui nous offre
cette perle de sagesse.
C’est une courte mais très belle histoire…
C’est histoire de deux amis qui marchaient dans le désert A un moment, ils se disputèrent et l’un des deux donna une gifle à l’autre. Ce dernier, endolori écrivit dans le sable : «
Aujourd’hui mon meilleur ami m’a donné une gifle »
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent une oasis où ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il écrivit
sur une pierre : «Aujourd’hui mon meilleur ami m’a sauvé la vie ». . .
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda : « Quand je t’ai blessé, tu as écrit sur le
sable et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi ? »
L’autre ami répondit : « Quand quelqu’un nous blesse, nous devons l’écrire dans le sable, car les vents du pardon peuvent l’effacer. Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien
pour nous, nous devons le graver dans la pierre, car aucun vent ne peut l’effacer »
Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.
Auteur inconnu
Dans son Evangile, l’Apôtre Matthieu nous parle du pardon des offenses qui doit être sans limite.
Il nous relate la réponse de Jésus à Pierre qui l’interrogeait à ce sujet :
"Alors Pierre, s’avançant, lui dit : « Seigneur combien de fois mon frère pourra-t-il pécher contre moi et devrais-je lui pardonner ?
Irais-je jusqu’à sept fois ? »
Jésus lui dit :
« Je ne te dis pas jusqu’à sept fois,
mais jusqu’à soixante-dix-sept fois »"
Saint Matthieu 18, 21-22